Réunion du 07 septembre 2023 – Adhésions et grandes lignes de la saison

Jeudi 07 septembre, pour la 2ème réunion hebdomadaire de la saison 2023/24, une quinzaine d’adhérents étaient présents. Pour certains, c’était le retour des vacances, pour d’autres la reprise du travail mais pour tous, comme chaque jeudi, c’était le plaisir de se retrouver et d’échanger autour des images et des pixels de cet été ou de bien avant parfois.

En introduction, le président Jean-Louis Amoroso a tenu à rappeler les consignes à respecter pour les emprunts de documentations et à sensibiliser les adhérents pour que les cotisations soient réglées au plus vite. Il précise que les inscriptions à la Fédération Photographique de France sont gérées par Phocal et non pas individuellement. « Surtout, ne réglez rien à la Fédé » insiste-t-il. Il souligne par ailleurs que le site a été complétement revu [NDLR : Voir ICI]

Inscriptions au Studio Jiminy

Pour ce qui est de l’inscription aux cours de Studio Jiminy, le site de formation à la photographie [NDLR : voir ICI], le président indique que ceux qui avaient déjà l’abonnement la saison passée et/ou la carte de la Fédération, bénéficient d’un abonnement promotionnel à 15€. Pour les autres – nouveaux abonnés et/ou nouveaux adhérents à la Fédération – ce sera 20€. Là encore, c’est Phocal qui gère !

Les grandes lignes de la saison 2023/24

Évoquant ensuite les grandes lignes de la saison 2023/24, et plus particulièrement la participation de l’association à la Fête des plantes et des fleurs qui se tient en début avril dans le village d‘Allauch, Jean-Louis Amoroso annonce : « Le maire et la responsable de la culture sont ravis de l’initiative que nous proposons de mettre des photos de Camargue à la place des photos de fleurs ». Pour ce qui est de cette même participation lors de la fête de la musique, par l’affichage d’images réalisées par les membres de Phocal, il poursuit : « on n’est pas obligé de s’en tenir aux reportages que nous avons faits sur la fête de la musique à Allauch ». Autrement dit, il sera possible de présenter des images, certes en rapport avec l’évènement, mais plus génériques.

Pour l’exposition de Port de Bouc à laquelle participera Phocal en novembre prochain, le président précise qu’il s’agira de formats 30×40. Il propose de reprendre les photos présentées lors des rencontres photographiques de Pertuis qui se sont tenues en juin 2023.

Quant à l’exposition Phocal, elle se tiendra en février à Allauch. « Il faut très rapidement trouver un sujet… Ne cherchez pas quelque chose de trop complexe » demande le président Amoroso. A priori, il s’agira de petits formats en couleur ou monochromes.

Christian Ramade au Sofitel Vieux Port

Du 16 octobre au 30 novembre 2023, dans la galerie de l’hôtel Sofitel Vieux Port – avenue Charles Livon – Christian Ramade, partenaire de Phocal, présente “Poteaugraphies”.

Présentation de tirages papier

De cette séquence, nous ne pourrons présenter que le travail que Gilles Monaco a réalisé en août dernier lors de sa visite aux Rencontres de la photographie d’Arles (Voir ci-dessous). En effet, si Jean-Louis Amoroso a présenté de très beaux tirages d’images du parc national de Yellowstone, il s’agissait, comme il l’a lui-même dit, de « reliques » obtenues à partir de diapositives.

Images projetées

Toujours tête en l’air, Ange Subrini a présenté des images de ciels et de paysages prises en août dernier à Risoul, et sans monstres paréidoliques cette fois-ci, contrairement à celles présentées lors de la projection de la semaine précédente.


C’est ensuite lors des ‘’Nuits Flamencas’’ d’Aubagne de fin juin qu’Yves Chabrillat  a ramené quelques clichés…


Cet été, Brigitte Carotenuto s’est rendue au Portugal où elle a été conquise par Obido, ville portugaise du district de Leiria, sise à 80km au nord de Lisbonne. On peut lire sur le web qu’il s’agit d’un des hauts lieux du tourisme en raison de l’excellent état de conservation de ses remparts. « Toutes les façades sont blanches et les angles des maisons, soit jaunes soit bleus et les toits et les cheminées sont de toute beauté » explique l’auteur. Jean-Louis Amoroso note la grande qualité de la luminosité ; « C’est parce que je me suis levée très tôt ! » dit alors Brigitte Carotenuto.


Miche Attard, lui, s’est « amusé à faire des photos pendant le feu d’artifice de Marseille » qui a été tiré le 14 juillet dernier. « Il y en a trois qui sont bricolées et trois autres plus classiques » explique l’auteur [NDLR : !?].  Comme le fera remarquer Brigitte Carotenuto, « on ne soupçonne pas que c’est un feu d’artifice si tu ne le dis pas » 


Plus classiques, les images présentées ensuite par Daniel Nicolini datent de novembre 2022. Elles ont été prises au Pays basque et certaines d’entre elles ont été déclinées en une version couleur et une autre en monochrome. Les avis ont été partagés : certains ont préféré la couleur et d’autres ont trouvé que la version monochrome avait « plus de force ».


Didier Debrand, alias Brandi, a proposé ensuite un diaporama sonorisé, comme étant « une compilation de choses qui se sont passées pendant l’été ». Bien qu’un peu long de l’avis quasi général – plus de 16 minutes – et composé de plus de 130 photos en noir et blanc [NDLR : En n’exposant chaque photo que 4 secondes, il aurait été possible de réduire la durée totale de plus de 6 minutes…], cela reste néanmoins un sympathique album de famille duquel on retient le bruit des enfants jouant à la piscine, les réunions apéritives et festives des grands, les moments de calme accompagnés des animaux de la maison – chien, chat, âne, chevaux – les sorties pour des fêtes célébratoires, les sorties nature et une belle collection de portraits d’enfants.

[NDLR : L’ensemble aurait encore gagné en force évocatrice par l’introduction dans la bande son de captations sonores en direct, comme, par exemple, les cris des enfants jouant au bain].

[NDLR : Les images retenues pour illustrer le propos ci-devant sont des copies d’écrans]


Pour Gilles Monaco, pas d’album de famille mais un travail sur les vagues et sur l’infrarouge…


Guy Jouannelle présente ensuite quelques photos musicales et “jazzies” prises en juin 2023 au bar club concert “Le petit journal” sis boulevard Saint Michel (Paris) puis sur l’Ile de Ré au festival “Jazz au phare” qu’il a fréquenté en qualité de bénévole.


Jacques Filiu a ensuite présenté un travail expérimental ; Il explique : « J’essaie de trouver les photos ayant le même sujet et à partir de cela, je les mélange afin de raconter de petites histoires en 30 ou 40 photos… ». De son propre aveu, dans les photos qu’il projette ce soir, « Tout est laid ! Ce sont des photos tristes », mais il explique encore : « Je travaille par thème et j’essaie d’en faire quelque chose pour illustrer des sujets comme le bonheur, le malheur et là, c’est le malaise… ».


Pour clôturer cette deuxième soirée 2023/24, pas de malaise, pas de malheur… que du bonheur… avec Jean-Pierre Creissen. Dans les quelques images qu’il présente, on retrouve la cohérence de sa démarche qui consiste à retirer les éléments d’environnement par sélection de la couleur à effacer et usage du tampon à certains endroits.

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