A deux jeudis de la clôture de la saison 2022-2023, en ouverture de séance, le président Jean-Louis Amoroso a fait un point sur les fêtes d’Allauch [NDLR : La veille, Phocal était à la fête de la musique – Article ICI] et sur l’Assemblée Générale de l’Union Régionale 13 qui sera accueillie par Phocal le 1er juillet prochain.
La rédaction de Phocal.org, fraîchement recoiffée – ou coiffée tout simplement ! – lui a fait part ensuite d’une proposition d’exposition “tournante” du coiffeur Stephan Infantino, à la Destrousse, qui réaménage son salon et qui cherche un partenariat pour exposer des photos sur un espace mural pouvant recevoir 6 cadres 30×40.
Le Président annonce ensuite la fin…
… de saison le 06 juillet et conséquemment la reprise de la prochaine le jeudi 31 août.
Il informe par ailleurs de la signature à Arles d’un livre photo de Sophie Brayard, ancienne Phocalienne. Il est dit que cela doit se passer le 05 juillet mais après des recherches sur le Web, il semblerait que cela soit planifié le 7 juillet au collège Saint Charles. Le livre en question – “Pleurer parfois” – est signé par Sophie Guerrier [NDLR : Mais d’après nos recherches, il s’agit bien de Sophie Brayard] et il est édité par Arnaud Bizalion Edition. Cette séance de signature entre dans le cadre de France Photobook qui réunit à Arles, du 05 au 08 juillet, des éditeurs de livres photos [NDLR : Programme détaillé ICI].
Christian Coulon annonce enfin qu’il a candidaté pour un concours du Salon Daguerre 2023 sur le thème “on the road”. Sur les quatre photos qu’il a remises, 3 ont été sélectionnées [NDLR : Voir ci-dessous].
Présentation de tirages papier…
Une fois les annonces épuisées, Gilles Monaco présente des tirages papier. Il s’agit des tirages monochromes de photos prises lors d’un concert privé et les photos proposées lors de la séance du 08 juin dernier [NDLR : Article ICI] mais qu’il a retravaillées sur la base des remarques faites alors par le Président Amoroso.
Jacques Filiu lui succède sur les présentoirs, mais en l’absence de visuels à l’appui, nous n’en dirons pas plus.
Projections – Hommage à Marseille
Pour ouvrir le chapitre des images projetées, Ange Subrini propose un diaporama de photos qu’il a prises sur une période de 10 années dans le quartier de son enfance. Intitulé “Mon Panier”, le montage est doté d’une bande son joliment servie par la chanson “Marseille” de Patrick Fiori [NDLR : Le montage est visionnable en cliquant sur la vignette ci-contre… mais compte tenu des droits d’auteur qui s’appliquent à la chanson, nous avons fait le choix d’en proposer une version muette].
Fernande Vedel qui intervient ensuite a pris la piste du président Amoroso : elle propose des images prises à Brooklyn, sur le terrain de prédilection dudit Président.
Pas de piste suivie par Gilles Monaco, sinon la sienne… « C’est une série qui date un peu… J’avais pris ces photos lors d’une fête médiévale mais elles avaient beaucoup de bruit… J’ai “débruité” avec DxO et les ai retravaillées et voilà… ».
Guy Jouannelle est un heureux homme ! Il a un copain ; Ce copain a un bateau ; Ce bateau est dans les Antilles, et avec ce copain qui a un bateau dans les Antilles, en navigant de Saint Martin à Saint Eustache en passant par Saint Barth, il a ramené quelques photos…
Jacques Milhaud, plus modestement, propose quelques fleurs de son jardin…
Comme suite à la vidéo qu’il a présentée lors de la réunion du 08 juin dernier [NDLR : Visionner la vidéo ICI], Jean-Luc Lebouil propose le 1er lot d’une série intitulée “Men at Work”. Exposées lors de l’inauguration de la place ayant fait l’objet de travaux de refonte complète, ces photos mettent en valeur les hommes qui ont travaillé sur le chantier.
Enfin, c’est au président Jean-Louis Amoroso qu’il revient de clore les projections avec des images venant d’un endroit qu’il a adopté, à moins que ce soit l’inverse, c’est-à-dire New-York ! La série proposée, a Morgan Avenue – « la plus longue rue chargée de Street Art » – comme cadre unique et comme il l’avait indiqué lors de la dernière réunion, les images présentées illustrent sa volonté de ne pas simplement représenter le travail d’un autre mais d’avoir une approche plus personnelle et pour cela, « d’essayer de trouver des points qui m’amènent sur le sujet pour apporter une touche personnelle »
