Ce jeudi 25 mai, c’est une fois encore la trésorière, Nicole Kévorkian, qui a ouvert la séance en l’absence du président Jean-Louis Amoroso, qui sait toutefois ne pas se faire oublier : Bien qu’à l’étranger, il garde un contact permanent avec l’association, quoique cette semaine, il ait, semble-t-il, réussi à débrancher : « Je ne l’ai pratiquement pas eu de la semaine » remarque la Trésorière.
Après un rappel sur les dates du prochain évènement qui concerne Phocal, c’est-à-dire les rencontres photographiques de Pertuis qui débuteront vendredi 02 juin à 14h, avec un vernissage samedi 03 juin à 17h, la séance se poursuit …
… sur la projection d’images, sans passer par plus de discours ni de présentation de tirages papier. C’est dire combien la séance fut courte ; Ouverte à 20h45, la cloche de fin a sonné à 21h50 ! Un record ! Ce qui n’enlève toutefois rien à la passion des adhérents venus présenter leurs travaux pour certains ou les apprécier pour les autres.
“Venus” n’est peut-être pas le terme approprié puisque les premières images proposées sont du président Amoroso. C’est un envoi récent de 12 photos qui, grâce à la magie du Net, entraine les membres présents dans les rues de New-York (Photos 1 à 6).
En revanche, Gilles Monaco, lui est venu ; Et de bien moins loin, pour présenter « des vieilleries » selon lui [NDLR : l’image la plus ancienne est de 2014]. A ces vieilleries, il a joint une série de macros, dont une image de coccinelles élevant des pucerons pour mieux les dévorer (Photos 7 à 14).
En restant dans le domaine de la macro-photo, Christine Natta propose des images de proximité : « Vu le temps, ce sont des macros prises dans mon jardin » (Photos 15 à 22).
« Bon, ça ce n’est pas de la macro » annonce Christian Coulon qui présente ensuite des images « prises en Islande lors d’une balade touristique ». L’auteur propose à la fois un voyage en terre Islandaise et un cours de géologie où il est question de reliefs tabulaires – « des volcans qui se sont mis en place sous la glace lorsque l’Islande était recouverte d’une calotte glaciaire qui faisait 2000 à 3000m d’épaisseur… Quand la calotte s’est retirée, ces reliefs tabulaires sont restés » – de coulée d’obsidienne – « c’est du verre volcanique, du verre naturel, comme des tessons de bouteilles… Quand on traverse, il faut faire attention car c’est coupant » – ou encore de blocs erratiques… (Photos 23 à 34).
Après l’Islande, l’atterrissage que propose ensuite Brigitte Carotenuto pose tout le monde à la Maison Associative du 780, route des 4 saisons, pour s’échapper ensuite vers Marseille : « Ce sont quelques petites photos que je fais à ma pose, entre midi et 2… » (Photos 35 à 42).
Enfin, le prochain nouveau venu, Guy Lacaze, présente une série d’images monochromes captées à vif aux abords du port de Marseille… (Photos 43 à 52). S’il fallait donner un titre à cette série d’images contenant des captations en contre-plongée, cela pourrait être : “photos sous la ceinture”.
