Trois petites photos, à travers les feuillages, d’une mésange bleue venue me rendre visite mardi midi.
Je ne suis pas totalement satisfait du traitement colorimétrique : les verts des feuillages et les bleus du ciel me semblent trop saturés, il faudrait que je fasse des retouches locales.
Les flous des feuilles en avant plan, même si je trouve qu’ils apportent une touche artistique que je n’avait pas sur d’autres photos plus “naturalistes”, me semblent trop présents et surtout mal positionnés : dans l’axe du regard de “Solange”. Pas facile de maîtriser la composition en photographiant ces petites bêtes “à la volée”.
Bien content, toutefois, d’avoir pu la prendre en photo d’aussi près. Qu’elles sont belles, ces mésanges bleues !
Je quitte NY pour revenir dans nos belles campagnes de France…
J’ai retrouvé par hasard dans des cartons, quelques photos de la belle époque de l’argentique! De véritables vintages que je situe entre les années 1972/1974.
Malheureusement, je n’ai pu les scanner (mal) qu’avec l’imprimante bureau et pour certaines, le papier brillant donne un effet de surface un peu désagréable.
Mais c’est pour le souvenir du style d’images de l’époque. Alors, Rétro!
Ma participation pour ce jeudi. Ce sont des roses que j’ai prises lors de la journée des plantes au jardin d’Albertas à Bouc Bel Air le weekend dernier.
Salut cette semaine, encore un petit exercice pour le fun. Ayant reçu une vidéo de studio jiminy sur le sujet mais avec Photoshop, j’ ai voulu m’amuser avec ligthrom. Photos Bretagne juin 2019.
Mianmar 2013 : la fête de l’eau qui se déroule le jour de l’an dans l’Etat KAREN. Pour cette fête l’ esprit d’un NAT est réincarné dans une personne……il n’y en a pas plus de 6 .
Cette fête peut durer 3 jours….chants ,danses,….alcool…..le but entrer en transes.
Nous ne savons pas grand-chose du photographe cubain Raul Canibano … Sauf que ses photos en Nb sont souvent très originales avec des cadrages et des plans différents qui permettent plusieurs grilles de lecture. J’aime beaucoup ! Et vous ?
Raúl Cañibano
Raúl Cañibano vit et travaille à La Havane à Cuba.
Sa première exposition personnelle, Lonely Hunter, a eu lieu en 1993 à la Fototeca de Cuba à La Havane. Depuis, ses photographies ont été exposées au Mexique, au Canada, au Brésil, aux États-Unis, en Espagne, en Grèce, en Italie, en Belgique et au Japon.
En 1999, il a remporté le Grand Prix de l’Exposition nationale cubaine de photographie pour son projet sur la vie des travailleurs ruraux, Tierra Guajira. Il était l’un des onze photographes sélectionnés pour « Cuba, Si! » rétrospective de 50 ans de photographie cubaine au Royal National Theatre de Londres en 2000.
Son travail fait partie de la collection du Centre international de photographie de New York.
Élevé dans la province rurale de Las Tunas, à l’est de Cuba, Cañibano a travaillé comme soudeur jusqu’en 1989, date à laquelle une visite à une exposition de photographies surréalistes d’Alfredo Sarabia à la Fototeca de Cuba l’a inspiré à poursuivre une carrière de photographe à près de trente ans.
Largement autodidacte, Cañibano a rapidement rejoint la génération de photographes qui a vu le jour dans les années 1990 suite à la dissolution de l’Union soviétique et intéressé à documenter les effets de la crise économique sur les moyens de subsistance et les expériences des «Cubains».
Sa première photographie, représentant l’ombre d’une statue équestre coupée au milieu pour révéler un arrangement linéaire de lampadaires modernes sur un ciel austère et sans nuages, a montré ses préoccupations à la fois esthétiques et politiques. La composition fait allusion à ses influences surréalistes, tout en évoquant le passé turbulent de l’île et le présent changement socio-économique imminent.
* – Michel Attard tout d’abord (dans l’ordre des informations reçues)
* – 1er Prix au Concours régional Auteur, et Coup de cœur du juge 3, Cindy Fernandez.
Michel est donc de nouveau, titulaire pour une année du trophée Lucien Clergue. Youpee!!!
(Applaudissements!)
* – Christine Natta, 2ème au Concours Nature papier et Coup de cœur du juge 1, Robert Rocchi.
* – Le Club PHOCAL obtient la 1ère place et est donc titulaire du trophée Hans Silvester. Re – Youpee!
Les photos qui ont permis d’atteindre ce palmarès sont de : Christine Natta (2), Jean-Marc Caschetta, Jean-Pierre Creissen, Didier Coccolo, Jacques Milhaud.
(Salve d’applaudissements! pour la suite aussi…)
Je vous transmets par mail séparé le message du commissaire Nature, Guy Lachambre, avec en p.j. les tableaux de synthèse des résultat Nature papier.
* – Concours papier Monochrome : Didier Coccolo obtient un Coup de cœur (pas lui… sa photo “Métro”!) du juge 1, Clara Hublet,
Antonio Lopes Miranda est classé 6 ème auteur.
PHOCAL est à la 5ème place.
* –Concours papier Couleur : Michel Garofano est 3ème auteur ( et photo “Le cri” classée 2ème).
–Jean-Paul Buffille obtient le Prix Jean Dumas (meilleure photo de paysage).
* – PHOCAL est à la 4ème place.
* – Image projetée monochrome : La photo “En attendant le vaporetto” de Jean-Marc Caschetta est 3ème.
* – Image projetée Nature : Là nous restons modestes avec seulement une 11ème place.
Chaleureuses Félicitations à tous nos auteur(e)s. Que tous ces heureux gagnants/ gagnantes, prévoient d’arroser ce glorieux Palmarès, dès que la situation nous permettra de nous retrouver en “présentiel”.
Je vous engage à aller sur le site des concours pour voir le détail de l’ensemble des compétitions régionales. Vous pouvez (je vous le recommande!) visionner toutes les images, pour chaque discipline, en cliquant sur le titre de la photo.
Prenez votre temps, et confrontez vos propres appréciations, cela peut être un petit exercice d’analyse d’images.
Ce soir, une petite virée dans Chinatown, de part et d’autre de Canal Street, la rue mythique… Il y a une petite place où se retrouvent tous les originaires du pays du soleil levant.
Les jeux de cartes et autres spécialités importées sont leurs passe-temps favoris.Hommes et femmes sont acharnés!
Puis, plus loin, les rues typiques où le dépaysement est garanti et la nourriture très exotique!
Voici qqes images/macro pour cette semaine. J’en profite pour vous signaler-pour celles et ceux qui ne le connaissent pas-un très beau jardin à l’abbaye de Valsaintes, près de Simiane la rotonde dans le luberon. L’éclosion d’une belle roseraie est attendue fin mai-début juin.
Cette semaine une série prise en fin d ‘année 2020 : “Travaux de nuit sur la RD2”.
En effet je fus tiré une nuit hors de ma maison intrigué par des vibrations intempestives accompagnées de bruits assourdissants… la RD2 se refaisait une beauté !
Dimanche dernier, il ne faisait pas beau, j’ai profité d’un moment d’accalmie pour une petite balade sous la grisaille au parc Longchamp. Il n’y avait plus de fleurs, alors j’ai pris le paysage par défaut de choix.
Bien content des résultats du club, merci à tous les participants. Ma contribution: “Iris Variation ». De la proxi photo où j’ai recherché des flous et un point net.
Stephen Shore a été un photographe très précoce. Encore adolescent certains de ses clichés furent exposés au MOMA de NY ! C’est le photographe d’une Amérique banale. Pourtant ses photographie sont extrêmement bien composées ! Aujourd’hui il est considéré comme un maître jouissant d’une vrai renommée internationale …
Je vous propose 2 liens pour ouvrir des vidéos de Laurent Breillat et de Thomas Hammoudi sur Stephen Shore. Je vous encourage vivement à les visionner !
Livres Stephen Shore
Un article de Laurent Breillat (https://apprendre-la-photo.fr/) sur Stephen Shore :
“Je vous répète “assez souvent” ( 😀 ) que la culture photo est importante pour progresser, et je vous aide à avancer dans ce domaine le plus souvent possible, notamment avec les épisodes d’Incroyables Photographes.
L’un d’eux était à propos de Stephen Shore, un photographe qui a une place très importante dans l’histoire de la photographie.
Aujourd’hui, je voudrais revenir sur son travail, et vous expliquer concrètement comment le connaître m’a permis de mieux me comprendre photographiquement, et du coup d’orienter ma pratique photo.
C’est un exemple pratique de ce que la culture photo peut vous apporter. Evidemment ici je parle de mon cas personnel, donc peut-être que vous ce sera avec un autre photographe et que vos conclusions seront complètement différentes, mais peu importe : ce qui compte, c’est qu’à force de regarder le travail des grands qui nous ont précédés, on peut se situer par rapport à eux et guider notre évolution photographique.
Je vous laisse découvrir ça dans la vidéo du jour :
Également, un lien avec une très intéressante présentation de Thomas Hammoudi sur les leçons de photographie de Stephen Shore :
Stephen Shore
Stephen Shore (né en 1947 à New York) est un photographe américain. Il est célèbre pour avoir participé à partir de 1972 à la reconnaissance de la photographie couleur comme art à part entière dans les musées et les galeries d’art aux États-Unis à une époque où le noir et blanc était encore prédominant.
Peter Lik est un photographe australien, spécialisé dans les paysages. Il est connu pour avoir vendu la photographie la plus chère au monde (6,5 millions de $). Il s’agit d’une photo en NB du fameux “antilope canyon” près du lac Powell (c’est la 1e. Je l’ai dénommée 6,5 $). C’est un richissime collectionneur de Las Vegas qui l’aurait achetée. Il en a également vendu plusieurs à + d’un million de $. C’est un photographe professionnel qui gagne bien sa vie avec son art, ce qui n’est pas le cas de nombre de ses confrères !!!
Pourtant, je ne dit pas que ses photos sont banales, mais ce n’est pas non plus, à mes yeux, la grande extase !!! Il vous appartient de faire votre propre opinion !
Peter Lik
Peter Lik est né à Melbourne en Australie en 1959, de parents tchèques qui ont immigré à la suite de la Seconde Guerre mondiale.
Il a réalisé sa première photo à l’âge de 8 ans, lorsque ses parents lui ont donné un Kodak Brownie pour son anniversaire. Le sujet de sa première photo a été une toile d’araignée prise dans le jardin de la maison familiale.
Dans sa jeunesse, Lik emportait son appareil pendant les vacances de famille et prenait aussi dans le même temps des clichés du paysage et des étendues de mer.
Il a continué ses clichés dans les campagnes et dans les régions sauvages d’Australie, souvent accompagné par son ami et collègue photographe, Michael Plumridge.
En tant que photographe, Lik est un autodidacte, qui a appris principalement par essai et erreur. Peter Lik est un photographe de paysage australien.
En décembre 2010, Lik a vendu une photo 1 million de dollars à un collectionneur anonyme, sa vente la plus élevée à ce moment-là. La photo intitulée « One » a été prise sur les rives de la rivière Androscoggin au New Hampshire.
Lik a déclaré qu’une seule copie de la photo serait imprimée. Selon BuzzFeed, à partir de 2011, le prix du cliché «One» en fait la 11e photographie la plus chère du monde.
Ces photos ont été prises (trop) rapidement à Septèmes les Vallons. Il s’agit d’un très grand lotissement abandonné. En 1968, un promoteur véreux est parti avec la caisse laissant des dizaines d’acquéreurs sur la paille.
En dépit de plusieurs tentatives de reprise ce lotissement est finalement abandonné. C’est un grand site (on parle de 40 bâtiments !) qui est une mine pour photographes !!! L’endroit est parfaitement calme et il est situé dans un quartier plutôt résidentiel des hauts de Septèmes. Son adresse “Route du vallon des Mayans”. Au-dessus de ce lotissement se trouve une petite colline, qui est un site archéologique (Oppidum Celto-Ligure des Mayans).
Je vous invite à grimper sur cette colline car la vue sur Marseille est très belle.
Un peu de photo documentaire… Quelques images de ce que certains avaient appelé La Grande Moche. Pour l’avoir vue à ces débuts, ce n’était pas réjouissant mais aujourd’hui on y est comme dans un jardin et on perçoit la conception des architectes. Traitement: imitation de l’inimitable Kodachrome 64 des Sixties & Seventies pour rester en rapport avec l’époque de la construction.
Pas toujours bleu. Mais ces gris et noirs sont un régal pour mes yeux et mon esprit imprégnés de PAREIDOLIE. Une ” maladie ” qui ne nécessite aucun traitement si se n’ est regarder et photographier.!!! L’ imaginaire de l’ enfance est toujours là, un vrai bonheur.!!!
Quelques photos faite ce matin toujours dans le cadre “La grande roue de la plage”. Ceci n’est pas un titre de série.
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